L’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a nié vendredi être à l’origine « des indiscrétions » ayant
permis à L’Equipe de rapporter que Jeannie Longo risquait une sanction disciplinaire pour manquement présumé à ses obligations de localisation. Cette hypothèse, contestée également par L’Equipe, avait été avancée par l’Agence France Presse dans une dépêche datée du 15 décembre 2011. Dans un communiqué transmis à cette même Agence, Bruno Genevois, président de l’Agence française de lutte contre le dopage, a apporté « un démenti formel à l’allégation selon laquelle l’Agence serait à l’origine des indiscrétions relatives à la situation de Mme Longo au regard des règles de localisation applicables aux sportifs figurant dans le groupe cible de l’Agence. »
D. R.
Equipe.FR